Pendant ses vacances forcées depuis la fermeture des guerres non essentielles, le grand guerrier Personnarix cherche à s'occuper. Après avoir pris un peu de potion magique, il part foutre le bordel au camp retranché de Covidum, à la sortie de la ville de Syjacuse, qui résiste seule et courageusement à... à rien du tout en fait : la ville n'est pas assiégée, le camp appartient à l'armée régulière et sur ce coup-là, Personnarix n'est pas un héros, il juste complètement beurré. Triste période et encore une soirée merdique.

Retour dans le doux pays d'Orchide, dans ce mini-monde à peu près aussi fou que le grand. Depuis le début de l'été, un aventurier et ex-officier casteignan, Fulgence de Jakoberabie, s'était distingué en combattant les Hédoniens alors qu'ils pénétraient dans les colonies de la baie d'Authie. Le jeune empereur Gaadushnor avait été fasciné par ce nouveau héros au point de lui confier son armée. Courageux, imaginatif et audacieux, mais totalement fantasque, impulsif, brouillon et orgueilleux, Fulgence est un expert du désert. Sa première mission est de convaincre Sébaa Tmanérobine, le prince des Etangons, de joindre sa tribu aux légions orchidiennes engagées dans cette nouvelle campagne. Gason Autthienoüs rencontre le phénomène à l'auberge du Charançon Braisé, le dernier lieu civilisé avant la vaste étendue sauvage au milieu de laquelle se trouve la cité de Syjacuse, point de rassemblement de l'armée orchidienne. Il pense aussitôt en le voyant : "on est mal barré"... (extraits)

Palais impérial, Porte d'Isfêthar.

Cadeau du boulanger de la Maison Landemaine, Paris 12 : le Menhir, un nouveau pain au sarrasin en phase de test.

A bientôt !