Sur le blog de Gason et les Sablonautes, le nouveau mini-peplum "Gaadushnor : nous ne reverrons pas Syjacuse".

Plus de 600 figurants, de nombreux décors tous neufs, les scènes en extérieur tournées à Berck, les effets spéciaux les moins chers du monde... Cette grand aventure est la suite de "Catudila : l'exilé de Cashprix".

Et c'est ici :

http://groupe-fusion.eklablog.com/9-gaadushnor-nous-ne-reverrons-pas-syjacuse-c30152312

En avant-première, quelques extraits du dernier épisode de "Lieutenant Colomba: La PME du meurtre" (bientôt sur vos écrans)

-     Colomba : Ah oui. En plus d'enlever vos lardons, j'ai aussi un peu foutu le feu. Mais ça devrait aller, c'est juste pour signaler ma présence, au cas où je me serais pas assez fait remarquer.

 (...)

-     Colomba : ...Quelqu'un vous avait trahi. Ce quelqu’un en a après vous et vos affaires. Ou bien ce quelqu’un a peur de vous, de vous tous. Et ce quelqu’un est peut-être présent ici ce matin…

-          Mademoiselle Elvaotafantong : Excusez-moi Vous voulez dire : « ce.tte quelqu’un.e est présent.e » ? 

-          Colomba : Ta gueule ! Je vous arrête toutes et tous ! 

-     Colomba : Oh !! Revenez ici !!

(...)

-     J'étais terrorisée. Je n'avais qu'une envie, repartir du bon pied avec mes 2 fils et Geldoush...

-     Colomba : Geldoush ? Le joueur de flûte ? Nooon ! Tu l'as adopté ou ton horoscope t'a dit "faites-vous un jeune", comme le disait la grrrande Yvette Leglaire ?

-     Groseilla : Nous espérons nous installer chez moi, à Absinthyos. Enfin si la justice est sympa avec nous... Nous nous aimons.

-     Colomba : Vouvouzémé ? Aaah... Un jour, je saurai ce que c'est. C'est pas compliqué : vous témoignez et vous serez libres. Libres mais sous contrainte de protection policière du coup... 

-     Groseilla : Nous aurons au moins ça.

(...)

-     Colomba : Dis-moi, la tiote... Puisque tu es à peu de choses près la dernière habitante du village et qu'en plus tu fais bien la tortore... J'aimerais bien fêter un peu tout ça... Au fait, as-tu des costumes ?

-     Groseilla : Musique !

Je suis toutes les femmes
Je vis vos joies et vos mélodrames

Je suis sentimentale et parfois femme fatale aussi
Que l'on me condamne si mon cœur s'enflamme
Devant les projecteurs
Qui me visent en plein cœur chaque nuit

Je suis toutes les femmes
Je chante, je danse c'est tout un programme
Je suis reine du disco et l'amie de Pierrot aussi
Que l'on me pardonne lorsque je me donne
Et je vis mes chansons à travers les saisons de ma vie

Je suis toutes les femmes
J'aime les paillettes, les strass, les télégrammes
Les soirées de première puis la une et la der aussi
Et ma vie de star finit dans le noir
Quand les lumières s'éteignent
Et le silence règne dans la nuit

Je suis toutes les femmes
Je vis vos joies et vos mélodraAAAAAAAmes

Je suis sentimentale et parfois femme fatale aussi
Que l'on me condamne si mon cœur s'enflamme
Devant les projecteurs qui me visent en plein cœur
Chaque nuit

Je suis toutes les femmes
J'aime les paillettes, les strass, les télégrammes
Les soirées de première puis la une et la der aussi
Et ma vie de star finit dans le noir
Je suis toutes les femmes, je suis toutes les femmes

Je suis toutes les femmes, je suis toutes…
Les femmes, les femmes !!!

FIN

DB - 23-12-218

En ces heures étranges où la société semble basculer et frétiller dans toutes les formes de stupidité la plus malsaine, il y a au moins un truc qui se passe bien : le Noël ukrainien est déjà arrivé dans le doux pays d'Orchide. Et sur le lieu de travail, un arbre festif (mes fidèles plantes qui m'observent depuis tant d'années) est en cours d'élaboration pour zéro euro.

Quand il était empereur d'Orchide, Catudila faisait célébrer la fin de l'année par une semaine de fête ininterrompue, jours et nuits, avec du dessert à profusion et des jeux. Il tenait à ce que tout le monde soit bien nourri, y compris les animaux du cirque impérial. Le héros des jeux était un Père Noël désigné par le sort parmi le bon peuple. Mais il fallait un nouveau héros chaque année. Les gâteaux au pavot et aux noix pouvaient largement faire le festin des 20 000 Orchidiens. C'était une bien belle fête, toujours très réussie. Dommage que Catudila n'ait régné que 3 ans, avant d'être renversé par Dame Latêtokaré et le général Juskalos.
http://groupe-fusion.eklablog.com/8-catudila-l-exile-de-cas…

Bonne fin d'année !

Gaadushnor méditait dans son palais de Katapigone, en compagnie de son précepteur Mélaophon. Il allait être proclamé empereur d'Orchide le lendemain par la régente Bulotricia, en remplacement de son frère Catudila et avec l'approbation du Sénat. Pendant ce temps, dans les therrmes de Krêgnos, on se délassait et on commençait déjà à conspirer un petit peu.

Décors créés les 24 et 25 novembre 2018 : le Sénat est devenu les thermes, et le théâtre est devenu la salle du sénat dans le palais impérial.

Dans "Catudila", nous avons vu ce cruel empereur chassé du pouvoir par sa tante, Dame Latêtokaré, et le général Juskalos. Dans l'urgence et après la victoire de Cashprix sur les Casteignans, son jeune frère est proclamé empereur d'Orchide à sa place.

Après son couronnement, il se rend au palais de Restépoli chez son vassal le roi Seugahalmemnon de Gravière, surnommé un peu trop glorieusement "Le Mini-Lion du Potager", et la reine Tuvamkiteh, qui est la cousine de Gaadushnor.

Le très fantasque (complètement marteau en fait) prince Louis II de Gravière, neveu du roi, avait pris le parti de la Casteigne pendant les temps les plus troublés et il n'en était pas revenu. Il s'était enfui quelque part dans les haies les plus sauvages en bordure du Jardin Secret des nations miniatures, pleines d'insectes fouisseurs, de rongeurs vicieux, d'oiseaux au bec mutin et gourmand et d'araignées contemplatives. On ignorait s'il était toujours en vie ou s'il avait fini picoré ou roulé dans un cocon.

Il était nécessaire pour le jeune empereur de rappeler ce petit pays à ses devoirs.

(au centre, avec son coquillage, le Premier ministre gravarois Tadéklop Ymmanreskühn. A droite Gaaadushnor et Mélaophon, à gauche, le général orchidien Bellesouche, duc de Philêoujah Pellapolis)

Dans "Nous ne reverrons pas Syjacuse", (sortie le 30 novembre) : les bourgeoises de Cashprix forment une milice pour défendre la cité assiégée ; les ruines de Chamalotihuacan, qui inspirèrent le grand auteur classique Diorhom de Silice à l'époque où il était jeune officier et styliste en grappins d'abordage.

Finalement, Gaadushnor se révèle aussi impitoyable que son frère Catudila : le petit roi de Gravière ne passera pas la journée...

Le Père Noël, c'est vraiment une belle ordure (un ignoble événement survenu à Restépoli et relaté par l'historien Gromitto de Krêgnos) : Pendant son séjour chez le roi Seugahalmemnon, le jeune empereur d'Orchide, Gaadushnor, lui fit livrer un cadeau des plus étranges. Le roi réussit à cacher sa joie par une absence d'ardeur non feinte. Mais, comme pour les oeufs Kinder, il y avait à l'intérieur du machin une surprise ! Et ainsi finissit... euh, finissa... bref, le royaume de Gravière, kaput !

(le mec avec la plume blanche, c'est lui Seugahalmemnon. Gaadushnor est derrière, en costume de couronnement rouge et or, son conseiller et ex-précepteur Mélaophon à côté de lui. C'est cet illustre personnage qui donne le signal du déclenchement de la surprise)

Ce très utile forfait accompli, Gaadushnor va saluer sa cousine Tuvamkiteh.

A bientôt !